11 de noviembre de 2009 | Entrevistas | Género | Soberanía Alimentaria
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L’association des petites productrices rurales uruguayennes a vécu des moments de haut et de bas, à la merci des politiques officielles et des différents modèles économiques dominants du pays.
Dans les années 90, le solide réseau d’organisations paysannes de base a été durement touché par le manque d’intérêt des officiels et par l’ouverture sans distinction aux marchés.
Au cours des cinq dernières années, cependant, l’organisation des petits producteurs a connu un élan inhabituel, et les signes de la reprise de l’esprit associatif commencent à apparaître. Tel est l’esprit de la vieille communauté des habitants de la campagne, mais avec de nouvelles fonctionnalités, telles que le rôle important des femmes dans les lieux clés de ces organisations.
Il y a quelques jours, à San Antonio, au département de Canelones, la première "Exposition d’horticulture de production familiale " a été réalisée. Le gymnase local a été envahi par des aliments, qui étaient fièrement exposés par leurs producteurs, dans une des zones des meilleures terres agricoles de l’Uruguay.
En dépit de machines sophistiquées qui sont utilisées dans la zone, l’élément principal de la journée a été une charrue, étant entendu que la traction animale est l’une des principales forces de traction, en particulier celle des bœufs.
Les producteurs ont participé à plusieurs conférences, telles que le programme de récupération des variétés locales de la carotte et le potiron comme une alternative aux variétés importées.
Photo: http://bligoo.com/
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