Nora Cortiñas était l’un des juges de la première audience du Tribunal de justice internationale sur le climat, tenue à la mi- octobre à Cochabamba, Bolivie. Cet espace a été utilisé pour établir des sanctions morales à l’encontre des entreprises accusées de crimes contre l’environnement.

Dans ce cadre, la militante argentine a déclaré que, par exemple, le manque d’accès adéquat à l’eau, subi par de nombreuses communautés d’Amérique latine est aussi une violation des droits humains, et les entreprises accusées de crimes contre l’environnement devraient être tenus pour responsables.

Malgré le fait que l’organisation dont est membre Cortiñas a été créée pour répondre à une situation particulière, elles ont compris qu’elles ne devraient pas être classés dans un seul champ de travail, et donc elles sont en train de connaître des problèmes comme le non-paiement de la dette extérieure, et la consolidation des mouvements sociaux à un niveau régional.

Nora Cortiñas a également fait référence au coup d’Etat militaire oligarchique au Honduras, un pays qu’elle a visité en tant qu’observatrice internationale, un mois après l’orchestration du coup d’Etat.

Photo: http://www.madres.org